Ce livre de Frédérique Martin n’avait pas grand-chose pour m’attirer a priori. Mais les a priori, vous savez ce que c’est… Ce ne sont jamais que de fausses certitudes, qui ne demandent qu’à voler en éclats 🙂
Pas grand-chose pour m’attirer, disais-je, pour deux raisons principales…
La première est que ce titre : Le vase où meurt cette verveine (le premier vers d’un poème de Sully Prudhomme : Le vase brisé) ne me disait rien qui vaille (pour tout dire, il m’ennuyait déjà à lui tout seul). La seconde est que la forme de ce roman (épistolaire) est loin d’être ma préférée.