Ce livre de Maylis de Kerangal a reçu de nombreux prix l’année dernière et autant pour d’autres livres écrits par d’autres auteurs, il m’arrive de me demander pourquoi, autant là c’est d’une évidence totale.
Réparer les vivants n’est ni plus ni moins qu’un petit bijou.
Au cas où vous n’en ayez jamais entendu parler, voici la quatrième de couverture :
« Le cœur de Simon migrait dans un autre endroit du pays, ses reins, son foie et ses poumons gagnaient d’autres provinces, ils filaient vers d’autres corps. »