Il n’y a plus de témoins directs de la Grande Guerre, mais les témoins indirects sont encore nombreux. Et parfois en possession de sommes d’information énormes.
Il faut réaliser qu’à cette époque, le téléphone n’existait pas. Alors, on communiquait par écrit. Beaucoup ! D’autant plus souvent que les échanges entre les soldats et leurs familles étaient gratuits : il n’y avait pas de timbre à payer.