Ce n’est pas moi qui le dis, mais Thierry Crouzet. Blogueur prolifique pendant plusieurs années, écrivain engagé dans la révolution numérique, agitateur de neurones, dans le flux des idées vingt-quatre heures sur vingt-quatre, il a frôlé le burn out un soir de 2011.
Le soir de la Saint-Valentin.
Fallait-il y voir un signe ? Toujours est-il que c’est cette nuit-là que Thierry a décidé de s’extraire du flux tourbillonnant, de se poser sur la rive pendant six mois pour prendre un peu de recul avant de replonger.
Ce sont ces six mois de déconnexion totale qu’il raconte dans J’ai débranché.