J’écris toujours les histoires de vie que je rédige à la première personne du singulier. Ce fameux « je » qu’on utilise le plus souvent sans y penser, mais qui a parfois bien du mal à sortir.
En l’occurrence, je n’ai jamais ce problème puisque le « je » que j’écris n’est pas le mien. Il me touche donc peu. Mais la difficulté est ailleurs, puisqu’il s’agit de restituer la personnalité du véritable auteur de l’histoire, à savoir la personne qui me raconte sa vie.
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