« À peine allongée, les larmes se mirent à couler. » Voilà le genre de phrase que je retrouve souvent dans les manuscrits que l’on me demande de corriger. Le genre de phrase que je ne peux pas laisser passer.
D’ailleurs, je ne suis pas la seule : Antidote non plus ne la laisse pas passer. Le seul problème, c’est qu’il la corrige mal.