Vous connaissez certainement Alexandre Jardin. Pour ses nombreux livres (Fanfan, Le Zubial, L’île des gauchers, Quinze ans après…) ou pour son association Lire et faire lire, dont les bénévoles retraités consacrent leur énergie à transmettre le goût de la lecture aux tout jeunes enfants.
Il a publié son premier roman à 20 ans et tous ses premiers livres ont été marqués par une légèreté, voire une superficialité, qui ne m’a jamais convaincue. Ses histoires d’amour flamboyantes ou romanesques me laissaient une impression de vide. Trop lisses malgré les rebondissements pour se faire une place dans ma mémoire.