Il a gardé ses habitudes de petit garçon né pendant la guerre et n’écrit qu’au crayon de papier (ou plutôt au crayon de bois) sur de petits cahiers de brouillon. Persuadé en même temps de ne pas avoir grand-chose à dire… et pourtant d’avoir eu une vie suffisamment remplie pour qu’elle mérite d’être couchée sur le papier.