C’est l’une des questions qui se posent lorsqu’on entame une réflexion en vue de démarrer une activité d’écrivain public : faut-il exercer dans un cabinet ?
Le fait d’avoir pignon sur rue permet une meilleure visibilité, ce qui ne peut pas être négatif pour un métier aussi méconnu. Le chaland de passage, intrigué, a la possibilité de s’arrêter et de pousser la porte pour satisfaire sa curiosité. C’est une façon de communiquer autour de son activité. Sinon, il faut quand même être clair : les services rendus par l’écrivain public biographe relèvent peu de l’achat impulsif.