Le GREC – Groupement des Écrivains Conseils® – est une association qui regroupe des professionnels de l’écrit. Notamment de nombreux écrivains publics et biographes.
Les membres de l’association souscrivent à une charte de bonne conduite et sont seuls agréés à utiliser l’appellation d’écrivain conseil®.
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Il y a quelques jours, j’ai amené ses livres à Madame B. Le récit de sa vie en vingt exemplaires : un pour elle, un pour chacun de ses enfants et de ses petits-enfants. Elle les distribuera elle-même aux destinataires : c’est son livre. Elle pourra même y ajouter un petit mot manuscrit pour chacun.
Aujourd’hui, c’est l’un de ses fils qui m’appelle. Il vient de recevoir son exemplaire.
Parfois, la question ne se pose pas. Lorsqu’il s’agit de rédiger un courrier administratif qui doit être signé par le client, l’utilisation du « je » est incontournable. Mais lorsqu’il s’agit de l’histoire d’une vie, les deux possibilités existent bel et bien : écrire à la première personne (« je ») ou bien à la troisième (« il / elle »).
Comment choisir ?
Le Syndicat national des prestataires et conseils en écriture existe depuis 2007. Il a été créé à l’initiative de 14 membres fondateurs, exerçant tous une profession en lien avec l’écriture. Ses objectifs sont multiples :
Quand on ne connaît pas ce métier, on imagine que la seule compétence nécessaire pour l’exercer est de… savoir écrire ! Mais – selon la formule consacrée des mathématiciens – cette qualité, pour être nécessaire, n’en est pas pour autant suffisante…
1. Maîtriser la langue
C’est une condition sine qua non pour prétendre rendre un service de qualité. Posséder une bonne orthographe, connaître les conjugaisons et les règles de grammaire, mais aussi écrire facilement. Si vous avez l’angoisse de la page blanche – ou plutôt, de nos jours, de l’écran vide ! – il vaut mieux choisir une autre voie.
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