Cette première chronique de lecture de l’année 2017 jette encore une fois un pont entre ma casquette de lectrice et celle de biographe. Il s’agit d’une histoire vécue. D’une trajectoire de vie, incroyablement douloureuse, mais tout aussi lumineuse. Celle de Priscille Deborah.
J’ai rencontré Priscille l’année dernière et j’ai été bluffée par l’énergie de cette femme rayonnante. La joie de vivre qui émanait d’elle. Tellement en contradiction avec les couleurs foncées et les visages torturés de ses peintures.
Forcément, j’ai eu envie d’en savoir plus sur elle. Alors, quand elle a mentionné l’existence d’un livre autobiographique, je n’ai pas hésité longtemps avant de l’acheter.