À première vue, pour être un bon correcteur, il suffit d’être très rigoureux. Suffisamment en tout cas pour ne laisser passer aucun caractère du texte à traiter et pour vérifier systématiquement ses intuitions lorsque le moindre doute se présente.
Car un bon correcteur doute ! Il doute même souvent. C’est ce qui lui permet de faire un travail de qualité.
Mais ce n’est pas suffisant.
Encore une histoire d’homonymes. La langue française en est friande. Mais par quoi commencer, cette fois ?
Il y a bien sûr les différentes graphies liées à la conjugaison du verbe partir : je pars, tu pars, il part… À ne pas confondre avec celles du verbe parer : je pare, tu pares, il pare.
C’est le titre d’un livre
Il ne s’agit pas de musique classique comme le titre pourrait éventuellement le laisser supposer, mais bien de disparitions volontaires. Celles de Julia et de celui que nous ne connaîtrons pendant toute la lecture que sous le nom d’emprunt d’Alain.
Ces deux-là s’aiment passionnément. D’un amour clandestin que leur entourage, comme l’ensemble de la société, ne pourrait que réprouver. Car ils sont trop proches, familialement parlant, l’un de l’autre.
Je vous racontais il y a une dizaine de jours mes échanges avec cette dirigeante d’entreprise qui aurait voulu que je travaille gratuitement pour elle.
Un ami, off line, m’a fait remarquer depuis que le coût de la réalisation d’un livre d’entreprise n’était pas négligeable et sans doute pas à la portée de toutes les TPE. C’est peut-être aussi ce que vous pensez… Alors, regardons les chiffres.
Continuer la lecture de Un livre d’entreprise ? Bien trop cher !
Nous nous voyons pour la troisième fois. Elle me livre son histoire sans détour, avec une honnêteté et une précision qui me touchent beaucoup et parfois m’impressionnent.
Pourtant, lors de notre premier rendez-vous, elle m’avait prévenue :
– Je suis une vraie huître ; j’ai du mal à m’ouvrir. Mais je vais essayer.