Noël, c’est l’époque des cadeaux. Laissez-moi vous en offrir un !
Pour tout récit de vie initié entre le 15 décembre 2009 et le 15 janvier 2010, je vous offre un exemplaire de mon livre La face cachée des cocotiers (récit d’une mission humanitaire en famille d’un an en Sierra Leone).
Renseignez-vous : c’est gratuit !
Bientôt Noël. La fête de famille par excellence. L’occasion de se retrouver, entre frères et sœurs, cousins et cousines, parents et enfants, grands-parents et petits-enfants. Ou tous ensemble !
Petite dernière d’une fratrie de six, j’ai toujours connu des Noëls synonymes de grandes tablées et de retrouvailles. Des Noëls pleins d’enfants et de joie. Pas forcément propices à la construction de relations profondes – c’est la rançon du nombre – mais indispensables pour conserver le lien.
Et si Noël était l’occasion d’offrir à toute la famille – ou de s’offrir – la livre de sa vie ?
Cet après-midi, à Paulinet.
De 14 h à 17 h.
Une belle après-midi d’automne, presque pas pluvieuse. Tout autour, les champs sont bien verts, les routes rendues glissantes par les amas de feuilles mortes humides. De lourds nuages gris surplombent l’horizon.
Cela pourrait être triste ; c’est au contraire plein de poésie.
Ce matin, à Villefranche d’Albigeois, de 9 h à 12 h.
Il pleut, il fait gris : une vraie météo automnale qui pèse d’autant plus que la semaine dernière encore, il faisait grand beau. L’été a définitivement refermé sa porte…
Aujourd’hui, lundi 19 octobre, c’est le premier jour de la Semaine Bleue.
« Pour vivre ensemble nos âges et nos cultures, restons connectés ! »
Connectés entre nous. Connectés avec le reste du monde. Connectés avec la nature… Pour ne pas se sentir déconnectés de la réalité !
Qui dit connexion dit contact. Contact réel ou virtuel. Internet est passé par là et a changé beaucoup de choses. Désormais, c’est par webcam interposée que de nombreux grands-parents gardent le contact avec leurs petits-enfants : les familles sont éclatées, on part de plus en plus loin de son lieu d’origine.
Réel ou virtuel, il faut tout faire pour que le lien perdure.
On ne dira jamais assez la nécessité de ces ponts entre générations. On ne dira jamais assez combien le temps passe vite. À quel point il est courant de le réaliser trop tard…