C’est le titre d’un livre que j’ai lu récemment, en l’espace d’une après-midi, et qui m’a enchantée.
Il ne s’agit pas de musique classique comme le titre pourrait éventuellement le laisser supposer, mais bien de disparitions volontaires. Celles de Julia et de celui que nous ne connaîtrons pendant toute la lecture que sous le nom d’emprunt d’Alain.
Ces deux-là s’aiment passionnément. D’un amour clandestin que leur entourage, comme l’ensemble de la société, ne pourrait que réprouver. Car ils sont trop proches, familialement parlant, l’un de l’autre.