Si j’en crois mes lectures, la première façon d’orthographier ce mot est la plus courante. La plus connue. Celle que, manifestement, on utilise sans y penser.

C’est oublier qu’il y en d’autres (une lapalissade, je sais, mais parfois il en faut pour être vraiment explicite ^^) et que la mort (la faucheuse, la fin de la vie, la grande inconnue… enfin, comme on voudra l’appeler) n’est pas la seule à se prononcer de cette façon-là.

S’il y a un jeune enfant dans votre entourage, par exemple, et qu’il vient vous voir en s’écriant « Maxime mord ! » ne vous affolez pas trop vite : son petit camarade est certainement toujours vivant ! Vivant, et muni de dents… qui mordent !

Je mords, tu mords, il mord…

Mais les chevaux et autres équidés ont aussi leurs propres mors : ceux qui permettent à leurs cavaliers de les guider. Celui-là s’écrit avec un « s ».

Et si quelqu’un vous dit qu’il a pris le mors aux dents, n’en déduisez pas pour autant qu’il a décidé de jouer… au croque-mort !

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