Encore une histoire d’homonymes. La langue française en est friande. Mais par quoi commencer, cette fois ?
Il y a bien sûr les différentes graphies liées à la conjugaison du verbe partir : je pars, tu pars, il part… À ne pas confondre avec celles du verbe parer : je pare, tu pares, il pare.
Comme souvent dans ce cas, c’est le verbe à l’infinitif qui permet de s’assurer que l’on n’a pas fait d’erreur : s’il contient un « e » (parer), alors il en faut un dans la forme conjuguée. C’est aussi simple que cela. Mais pas évident pour tout le monde… Parole de correctrice !
Et à part cela, me direz-vous ?
Je pourrais vous offrir une part de gâteau. Vous en profiteriez pour vous tailler la part du lion. Et ce serait un bon dé… part !
Mais pourquoi diable mettre un « t » muet à la fin de ce mot ? Parce que c’est le fait de partager le gâteau entre plusieurs personnes qui aboutit à ce morceau qu’on appelle une part 🙂
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Bonsoir Florence,
Quelle belle tirade, j’espère que tu vas nous en sortir d’autres comme cell-ci.
Je suis friande de ce genre de « part-arge ». J’en veux une autre part et cette fois une très grosse part que je « part-agerais » avec mon entourage.
Merci Florence,
Hélène
Helene@Objectif-Reussite Articles récents..Apprendre toute sa vie pour un cerveau performant
Bonsoir Hélène,
C’est avec plaisir 🙂
C’est vrai que j’ai un peu délaissé ma rubrique « J’ai un doute » ces derniers temps… Pourtant, ce ne sont pas les idées qui manquent ! C’est re-part-i pour un tour 🙂
Florence