Quand Le Sceau des sorcières, le dernier thriller de Jacques Vandroux est sorti, le mois dernier, j’ai fait comme de nombreux lecteurs : je me suis jetée dessus !
Voici la quatrième de couverture :
« Quand Isabelle Desrameaux, chef d’entreprise à la vie privée débridée, est retrouvée torturée à mort à son domicile, c’est du côté du milieu libertin que va fouiller la police. Mais quand une mère de famille sans histoires est découverte, quelques jours plus tard, immolée par le feu sur le campus de Grenoble, l’enquête prend une autre tournure. Rapidement, le capitaine Nadia Barka comprend que c’est dans le passé qu’elle aura une chance de trouver la clé de ces meurtres.
Les secrets du Vatican ou la mémoire d’un vieil aristocrate misanthrope tapi sur le sommet du Trastevere à Rome sauront-ils l’aider à décrypter les rares indices dont elle dispose ?
Passant des procès iniques de l’Inquisition du XVIIe siècle aux turpitudes d’une élite lyonnaise dépravée, l’officier de police va se battre pour découvrir la signification du sceau des sorcières, tatouage commun aux victimes, et tenter d’arrêter les assassinats qui s’enchaînent.
Ce roman prend racine dans l’histoire de France pour livrer au lecteur une quête qui l’emmènera à la rencontre d’une guérisseuse au savoir ancestral, d’un prêtre romain séduisant, de truands tapis dans toutes les couches de la société et de flics au bord de la crise de nerfs. »
Rien que l’idée de retrouver Nadia Barka me donnait envie de lire ce nouvel opus. Elle était en effet déjà en charge de l’enquête dans Au Cœur du Solstice, un précédent livre de l’auteur. Et quand on s’attache à un personnage, on a forcément envie de le retrouver ! Mais rassurez-vous, si vous découvrez Jacques Vandroux, il n’y a pas besoin d’avoir lu ce précédent livre pour se laisser envoûter par Le Sceau des sorcières.
Comme chaque fois, avec cet auteur, l’intrigue est superbement bien menée. Sans temps mort. Mais avec quelques cadavres : nous sommes dans un thriller, la vie ne peut pas être de tout repos.
Le voyage dans le temps (une partie du livre retrace le procès d’une guérisseuse accusée de sorcellerie, au XVIIe siècle) ajoute du piment à l’histoire. Enfin, cerise sur le gâteau : l’écriture est irréprochable.
Alors, si vous aimez les personnages avec une vraie épaisseur, les histoires au rythme soutenu et si vous n’avez pas peur de passer vos nuits à lire, je ne peux que vous encourager à dévorer les 529 pages du Sceau des sorcières 🙂
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