Les fichiers sont chez l’imprimeur. Circa mortem sera en vente dès le 16 juillet. En voici déjà la quatrième de couverture :
Qu’on la considère comme son aboutissement, son ultime étape, ou sa dernière frontière, la mort fait bel et bien partie de la vie. Elle en est un jalon. Un repère.
Solitaire ou inattendue, programmée ou accidentelle, vécue de l’intérieur ou de loin, elle est en tout cas présente dans chacune des nouvelles de ce recueil.
Qu’ils la combattent ou la recherchent, qu’ils la subissent ou en découvrent la marque dans leur passé, tous les héros de ce livre ont maille à partir avec elle.
Jusqu’à s’envoler, en souvenir de ceux qui ne sont plus là, pour mieux rebondir. Jusqu’à y puiser l’espoir d’un plus bel avenir.
Circa mortem, ou comment réconcilier ces deux faces d’une même pièce : la mort et la vie.
Bientôt sur Kindle aussi 🙂
Alléchant Florence ! J’attends la sortie de la version kindle avec impatience. 😉
Jean-Philippe Articles récents..La femme sans peur (9)
Merci Jean-Philippe !
D’ici la fin de la semaine, je pense 😉
Florence
C’est un beau sujet et important. Je me souviens d’une rédaction que j’avais rédigée quand j’étais lycéenne. Mon professeur de français qui était aussi un prêtre, m’avait sanctionnée d’une note en dessous de la moyenne car j’avais écrit que ne pas avoir peur de la mort pouvait être une grande forme de liberté. Il était atteint d’une grave maladie et n’a pas admis que je puisse avoir cette affirmation. Il y a autour de la mort, et de la façon dont on la conçoit beaucoup à dire, mais je crois important de respecter profondément la position de chacun, en fonction de ses croyances, de ses expériences et émotions. Je découvrirai vos nouvelles avec intérêt.
Bonjour Marie-Claire,
Merci pour votre témoignage.
Il y a en effet beaucoup à dire autour de la mort (circa mortem ;-)), ne serait-ce que pour lui redonner une place dans notre société où elle fait si peur. Jusqu’au mot lui-même, que beaucoup de personnes refusent d’utiliser et préfèrent remplacer par des termes plus vagues : départ, disparition…
La place qu’elle occupe dans ces nouvelles, qui évolue nettement au fil des textes, est aussi une illustration des différentes étapes qui jalonnent le deuil.
Florence