Pas de travaux en cours… Rien à l’horizon… En tout cas, pas assez pour remplir un agenda. Que faire dans ces cas-là ?
De la prospection, évidemment. Mais ça, ce n’est pas l’apanage des périodes creuses : comme tout bon travailleur indépendant, l’écrivain public biographe se doit de consacrer une part de son temps à la recherche de ses (futurs) clients.
Alors quoi, me direz-vous ? Écrire, bien sûr ! Pour ne pas perdre la main, mais aussi parce que c’est bon pour le moral : écrire permet de s’évader, d’oublier ses problèmes… comme le manque de clients !
Mais écrire quoi ? Tout le monde n’a pas forcément de projets personnels d’écriture. Rassurez-vous : les exercices ne manquent pas… En voici trois exemples :
- Les concours de nouvelles
Que vous ayez ou non l’intention d’y participer, les concours de nouvelles avec thème imposé constituent un bon point de départ. Les sujets sont aussi étonnants que variés et vous vous rendrez vite compte que travailler sur un thème imposé stimule étonnamment la créativité.
- Le résumé
Un vieil ami ! Souvenez-vous de ces vacances scolaires au cours desquelles vous deviez lire un livre… et en écrire le résumé. L’exercice est toujours intéressant, puisqu’il vous permet de travailler sur la synthétisation du discours. Vous n’avez rien lu récemment ? Rédigez le résumé d’un film, d’une émission de radio que vous avez écoutée, ou même du journal télévisé.
- Le blog
Qu’il soit personnel ou professionnel, le blog est un outil de communication qu’il faut faire vivre, alimenter de façon régulière. Ce qui peut s’avérer difficile lorsque vous êtes surchargé de travail. Alors, en période creuse, profitez-en donc pour préparer des billets à l’avance. Vos lecteurs vous en seront reconnaissants ! Et si vous n’avez pas encore de blog, c’est peut-être le moment d’en démarrer un ?
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